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América Latina y el Caribe

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https://biblioteca-repositorio.clacso.edu.ar/handle/CLACSO/63770
Título : | Transatlantic reciprocity, reception in dutch-speaking areas, reliance, and deliance around Batouala Réciprocité transatlantique, réception néerlandophone, reliances et déliances autour de Batouala |
Palabras clave : | Harlem Renaissance;Slave narratives;Subtitles;Reception in Dutchspeaking countries;Belgian echoes;Liance;Reliance;Déliance;Harlem Renaissance;Slave narrative et sous-titres;Réception dans les pays néerlandophones;L’écho belge;Liance;Déliance;Reliance;Afriphone |
Editorial : | Lettres Françaises |
Descripción : | In this article, I start by recalling the friendship between Alain Leroy Locke and René Maran in order to better understand the subtitle – “véridique histoire nègre” – of his Goncourt Prize winning first novel. Translated into Dutch, Batouala had two translators, a Dutch and a Belgian, with a slightly different impact. I also show how Maran has been impacted by the author of “Heart of Darkness”, while also André Gide (who knew Maran well) also pays tribute to Conrad. Finally, I show how Maran has been rehabilitated in Belgium. First, he was admitted to the “Académie de langue et culture françaises”, and second, the fiction by George Simenon echoes several of both Maran’s and Conrad’s powerful fictions on the “coeur des ténèbres”. Dans cet article, je rappelle d’abord la liance (au sens que lui donne Marcel BOLLE DE BAL, 2003) entre Alain Leroy Locke et René Maran afin de mieux comprendre le sous-titre: « véridique histoire nègre » du roman maranien. Ensuite, je m’intéresse aux deux traducteurs de Batouala en néerlandais, ma langue maternelle. L’un est un Belge, l’autre un Hollandais, traductions légèrement différentes. Enfin, je m’intéresse à un classique que Maran me semble avoir bien lu, et qui se situe au « coeur de l’Afrique », Joseph Conrad. Ce récit permet encore d’illuminer un dernier nom qui gravite autour de Maran: André Gide. Maran connaissait ce dernier par ses relations au sein de La Nouvelle Revue Française. Gide comme Maran font écho à Heart of Darkness, la nouvelle conradienne se déroulant au Congo belge. Tant dans le Voyage au Congo que Batouala, l’autre Congo figure en creux dans la « relation » (au sens de reportage) d’André Gide et des romans coloniaux de George Simenon. En effet, ce dernier situe plusieurs de ses romans dans les Congos (belge et français). Pour finir, je montre que René Maran a été réhabilité après ses démêlés avec la presse au sein de « l’Académie de langue et culture françaises » à Bruxelles. |
URI : | http://biblioteca-repositorio.clacso.edu.ar/handle/CLACSO/63770 |
Otros identificadores : | https://periodicos.fclar.unesp.br/lettres/article/view/16524 |
Aparece en las colecciones: | Faculdade de Ciências e Letras-Unesp - FCL/CAr - Cosecha |
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