This paper aims to weave a reflection from the performativity setback, when charting the politics’ aestheticization and art’s politicization, produced from the rise of the new right in recent Brazil, permeating aspects of its performativity. In conclusion, it is discussed aspects concerning the carnivalization, from the joy's strategies analyzed in Belo Horizonte and its street carnival. This is like an aesthetic-political glimpse amidst the new right’s ill-forged barrel of copies, characterized by the strategy of the hybrid war, a mark of History's falsification, as tactics for geopolitical territory dispute.
Ce travail fait une réflexion de l’échec de la performativité, dans la cartographie de l’esthétisation de la politique face la récent ascension de la ‘nouvelle droite’ au Brèsil, en se concentrant sur les aspects de sa performativité. Il met en évidence le cadre performatif de la falsification de l’histoire comme une tactique dans la dispute territoire géopolitique, au milieu d’une reproductibilité mal forgé de la ‘nouvelle droite’. En contrepoint à la performativité de ces mouvements émergents dans la sphère publique du pays à partir de 2013, les questions entourant le carnavalesque sont discutèes, depuis des stratégies de joie analysées à Belo Horizonte et son carnaval de rue.