Resumen:
Ce mois de centenaire révèle que la poésie de Morisseau-Leroy sans qu’il soit nécessaire de parler de sa prose ni de ses nouvelles, ses contes, ses récits insolites, son surprenant théâtre, est paradoxalement à elle seule, l’expression à l’accession de la voix du peuple haïtien à la lumiè-re, l’une des premières, dans toute sa plénitude et l’authenticité et la modernité de sa culture.